
Port de pêche de Port-en-Bessin
Port de pêche
Présence d’une halle à marée
(1ère criée de Normandie et la 6ème de France) Flottille de 61 bateaux (surtout chalutiers)

Port de pêche, commerce & plaisance
Présence d’une halle à marée
Flottille de 55 bateaux (surtout dragueurs et caseyeurs
![]()
3 big bags de 31m3 & 1 cagette derrière la criée. Tri des alèzes de chalut et de drague / filets /cordages / casiers usagés.
Une zone de tri et un agent dédié pour le tri Les EPU sont placés dans des big bags par catégorie afin d’être amenés dans les voies de valorisations dédiées.
Coût de gestion : pas de données – projets Quantités : 1,964 T en 2022 (projet FIRENOR)
![]()
Les pêcheurs ramènent sur le port les déchets qu’ils récupèrent au cours de leur activité de pêche. Dépôt dans les bennes des DIB sans quantification ni qualification.
Mise en place de bennes / big bags pour récupérer uniquement les déchets pêchés passivement afin de quantifier et qualifier les flux ramenés sur le port.
![]()
Recyclage de certains EPU compliqué surtout en cas de mélanges de matière (ex : rock hopper, nappes de drague…).
Pas d’équipements pour le tri qui est réalisé par terre pour le moment.
Postes de tri éloignés ce qui entraîne une qualité de tri moins optimale.
Voies de valorisation encore quasiment inexistantes. Chutes de ramendage sur les quais risquant de tomber dans le port.
La collecte des EPU est bien rentrée dans les habitudes des pêcheurs et un tri efficace est effectué au sein du port.
Objectifs :
Développer des voies de valorisation pérennes.
Identifier les possibilités de valorisation en fonction du souillage.
Suivre les différents indicateurs (tonnage, heures de travail nécessaires pour le tri…) pour une meilleure gestion et un développement à plus grande échelle.

Port de pêche
Présence d’une halle à marée
(1ère criée de Normandie et la 6ème de France) Flottille de 61 bateaux (surtout chalutiers)

Activité de pêche et marché du poisson.
Flotte de 144 bateaux et navires (principalement des bateaux de pêche artisanale)

Activités portuaires multiples, mettant l’accent sur le transport de marchandise et sur le fret. La pêche est le principal pilier du port, qui dispose d’un marché aux poissons.
Pratique de la pêche : 94 navires (pour la plupart de petite taille), mais ce nombre s’élève à 190 si l’on inclut les bateaux qui déchargent au marché aux poissons mais ne sont pas basés dans le port.
Débarquements: Morue, chinchard, maquereau, sardine, dorade commune, anchois européen, éperlan, merlu, merlan, sole, cardine, raie, roussette, rascasse noire, lotte, saint-pierre, rouget barbet, sébaste, lieu jaune,…

Port de pêche (majoritaire) et de plaisance
Présence d’une halle à marée
Flottille de 95 bateaux
(chalutiers, fileyeurs, caseyeurs, ligneurs)

Port de pêche et de plaisance
Pas de halle à marée mais salle de préparation de poisson
7 bateaux fixes (pêche côtière) 

Port de pêche, commerce, plaisance,
transport de passagers (trafic transmanche).
Présence d’une halle à marée.
Environ 40 bateaux (majoritairement pêche côtière). 1500 chalutiers hauturiers en escale de débarquement de poisson accueillis chaque année.

Port de pêche très actif avec un fumoir à poisson, une poissonnerie, un club de voile, des garde-côtes avec un bateau de sauvetage, un chantier naval, un atelier de réparation de filets et une usine de glace. Il y a une flottille de 12 bateaux de moins de 24 mètres, composée de chaluts de fond, un chalut à perche et deux sennes. Cette flottille pêche principalement du poisson blanc comme du merlu, de l’églefin ou du merlan.

Activité de pêche et marché aux poissons.
Pratique de la pêche : Flotte de 237 navires. Il s’agit principalement de navires de pêche artisanale.  26 chalutiers.

Activités commerciales, nautiques, touristiques, de pêche et de chantier naval, marché aux poissons.
Pratique de la pêche : Trois chalutiers du projet Mares Circulares (avec des longueurs allant de 28 à 36 mètres) collaborent à la pêche passive aux déchets.
Débarquements: Maquereau, anchois européen et germon du Nord