
Port de pêche de Port-en-Bessin
Port de pêche
Présence d’une halle à marée
(1ère criée de Normandie et la 6ème de France) Flottille de 61 bateaux (surtout chalutiers)

Port de pêche (majoritaire) et de plaisance
Présence d’une halle à marée
Flottille de 95 bateaux
(chalutiers, fileyeurs, caseyeurs, ligneurs)
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6 bennes sur les quais pour les cordages et filets.
Déchèterie portuaire fermée pour la gestion des DIB et des déchets dangereux.
Collecte et recyclage des filets par Fil&Fab en vue d’une valorisation de la matière. Expérimentation menée par Fil&Fab et WWF : récupération de 3 tonnes de nappes de chalut en mai 2024 (tests de broyage et revalorisation). Projet FILIPECH en 2022 : 2T de chaluts envoyés pour recyclage chez Plastix (Danemark).
Les pêcheurs mettent directement leurs filets de pêche et engins usagés dans les bennes.
2 structures de travail adapté sont présentes sur le port : “L’Atelier des gens de mer” (gestion de la déchèterie) et l’ESAT “Claires et mer” (démontage des filets).
Financement : inclus dans la REPP
Coûts de gestion : L’ensemble des déchets
coutent à minima 100.000 € / an au port. Quantités : 6T de filets en 2024 / 10T de chaluts
usagés / an.
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Les pêcheurs ramènent sur le port les déchets qu’ils récupèrent au cours de leur activité de pêche (sacs verts fournis par ReSeaclon et bacs sur les quais). Opération test menée auprès de 4 à 5 bateaux afin de quantifier et qualifier les déchets pêchés.
Les déchets de la pêche passive augmentent le coût des déchets. Les marins ne trient pas les déchets ce qui empêche la valorisation.
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Augmentation constante du coût de gestion des déchets.
Chaluts stockés sur les quais en attente de solution.
Démarche active de gestion des déchets portuaires (Plan de réception des déchets daté de 2023).
Existence d’une déchèterie fermée (pour éviter les dépôts sauvages).
Diagnostic mené en 2021 pour dégager des pistes d’amélioration et sensibiliser les usagers du port.
Longue tradition de gestion et de recyclage des filets en nylon via la présence de 2 structures de travail adapté sur le port.
Mise en place en 2024 d’une convention tripartite entre le port, l’Atelier des gens de mer et Fil&Fab pour le recyclage des filets.
Objectifs :
Mettre en place une filière de valorisation pour les chaluts.
Améliorer le respect des règles relatives aux déchets.
Améliorer le degré de sensibilité des usagers du port sur la question des déchets.

Port de pêche
Présence d’une halle à marée
(1ère criée de Normandie et la 6ème de France) Flottille de 61 bateaux (surtout chalutiers)

Il s’agit d’un port polyvalent qui accueille environ 20 chalutiers, 5 dragueurs et 25 navires côtiers pour la pêche au crabe, au homard et au bulot. En outre, le port accueille des bateaux de pêche à la ligne de loisirs, des bateaux d’excursion vers les îles Saltee et des bateaux de plaisance. Des usines de transformation des produits de la mer se trouvent également à proximité du port.

Activité de pêche et marché du poisson.
Flotte de 144 bateaux et navires (principalement des bateaux de pêche artisanale)

Port de pêche et de plaisance
Pas de halle à marée mais salle de préparation de poisson
7 bateaux fixes (pêche côtière)

Port de pêche, commerce, plaisance,
transport de passagers (trafic transmanche).
Présence d’une halle à marée.
Environ 40 bateaux (majoritairement pêche côtière). 1500 chalutiers hauturiers en escale de débarquement de poisson accueillis chaque année.

Activités portuaires multiples, mettant l’accent sur le transport de marchandise et sur le fret. La pêche est le principal pilier du port, qui dispose d’un marché aux poissons.
Pratique de la pêche : 94 navires (pour la plupart de petite taille), mais ce nombre s’élève à 190 si l’on inclut les bateaux qui déchargent au marché aux poissons mais ne sont pas basés dans le port.
Débarquements: Morue, chinchard, maquereau, sardine, dorade commune, anchois européen, éperlan, merlu, merlan, sole, cardine, raie, roussette, rascasse noire, lotte, saint-pierre, rouget barbet, sébaste, lieu jaune,…

Cargaisons générales (papier, bois, fruits, acier), solides en vrac (céréales, farines et engrais), services aux navires (construction, réparation, carburant, huiles…), activité de pêche (fraîche et congelée), vente aux enchères de poisson.
Pratique de la pêche : 77 navires et bateaux (principalement côtiers, 12 chalutiers opérant dans les zones de pêche de la Grande Sole, 4 chalutiers côtiers et 8 opérant dans les eaux portugaises).
Débarquements : Sardine, chinchard, maquereau, bonite, araignée de mer, tourteau, crevette, langoustine, merlu, merlan, merlan bleu, calmar, lotte, rascasse, grondin, sole, seiche, poulpe, congre, raie…

Port de pêche très actif avec un fumoir à poisson, une poissonnerie, un club de voile, des garde-côtes avec un bateau de sauvetage, un chantier naval, un atelier de réparation de filets et une usine de glace. Il y a une flottille de 12 bateaux de moins de 24 mètres, composée de chaluts de fond, un chalut à perche et deux sennes. Cette flottille pêche principalement du poisson blanc comme du merlu, de l’églefin ou du merlan.

C’est un port très actif qui abrite plusieurs organisations d’État et entreprises de pêche. On y trouve notamment une usine de transformation des produits de la mer, une fabrique de glace, une coopérative de pêcheurs et des agents maritimes. Des paquebots de croisière et des ferries pour les îles y accostent également. 30 navires de pêche de plus de 20 mètres sont basés dans le port. La majorité étant des chalutiers pêchant le poisson blanc.