C’est un port très actif qui abrite plusieurs organisations d’État et entreprises de pêche. On y trouve notamment une usine de transformation des produits de la mer, une fabrique de glace, une coopérative de pêcheurs et des agents maritimes. Des paquebots de croisière et des ferries pour les îles y accostent également. 30 navires de pêche de plus de 20 mètres sont basés dans le port. La majorité étant des chalutiers pêchant le poisson blanc.
Actuellement, les filets en fin de vie sont mis en décharge, les composants réutilisables ou recyclables, tels que le métal, sont préalablement retirés. Les filets espagnols/français en fin de vie sont renvoyés dans le pays concerné par l’intermédiaire de camions qui fournissent des services à ces pêcheurs. Les déchets suivants ont actuellement une voie de valorisation : métal, palette de bois, huile, caoutchouc, pneus, déchets de restauration, batteries, carton, câble métallique, verre, petits fûts d’huile (25 litres).
Le capitaine du port est contacté par les navires avant leur arrivée au port. Les déchets sont collectés dans des bennes fermées situées sur les quais et sont collectés tous les jours ou deux fois par jour en fonction du trafic maritime dans le port. Actuellement, les engins de pêche usagés (EPU) sont mis en décharge, les composants réutilisables ou recyclables, tels que le métal, sont préalablement retirés. Des bennes de catégorie 1 sont prévues pour les navires arrivant de ports internationaux. Les frais sont fixés par la loi n° 214 de 2012.
Les ressources disponibles pour collecter des données sur les types des EPU et les déchets pêchés passivement sont limitées. Il n’existe pas de filière de recyclage pour les filets.
Au cours de l’année écoulée, le BIM (agence publique irlandaise chargée de développer les industries irlandaises de la pêche maritime et de l’aquaculture) et le CTC (Centre des technologies propres) ont travaillé avec le port pour mettre en place des rapports utilisant des codes de caractérisation des déchets. La communication sur la législation, les règlements administratifs et les activités pertinentes dans le port se fait par le biais d’annonces, affichées localement et envoyées par courrier électronique. Il existe une zone de stockage et d’entretien des filets utilisés. La direction du port a cherché activement des moyens de recycler les filets, mais à ce jour, il n’en existe pas en Irlande. L’élimination des EPU relève de la responsabilité du propriétaire du filet, le port ne les acceptant plus.
Il s’agit d’un port de pêche qui accueille actuellement 5 chalutiers pélagiques, 36 chalutiers démersaux et 12 caseyeurs. Cette flottille pêche principalement de la crevette, du crabe et du poisson blanc. Il y a également des entreprises de transformation et vente de produits de la mer. Le port est une zone touristique avec la présence de navires de croisière et un club de voile.
Port de pêche et de plaisance
Présence d’une halle à marée, vente uniquement à distance Flottille de 45 bateaux (fileyeurs et ligneurs)
Cargaisons générales (papier, bois, fruits, acier), solides en vrac (céréales, farines et engrais), services aux navires (construction, réparation, carburant, huiles…), activité de pêche (fraîche et congelée), vente aux enchères de poisson.
Pratique de la pêche : 77 navires et bateaux (principalement côtiers, 12 chalutiers opérant dans les zones de pêche de la Grande Sole, 4 chalutiers côtiers et 8 opérant dans les eaux portugaises).
Débarquements : Sardine, chinchard, maquereau, bonite, araignée de mer, tourteau, crevette, langoustine, merlu, merlan, merlan bleu, calmar, lotte, rascasse, grondin, sole, seiche, poulpe, congre, raie…
Il s’agit d’un port polyvalent qui accueille environ 20 chalutiers, 5 dragueurs et 25 navires côtiers pour la pêche au crabe, au homard et au bulot. En outre, le port accueille des bateaux de pêche à la ligne de loisirs, des bateaux d’excursion vers les îles Saltee et des bateaux de plaisance. Des usines de transformation des produits de la mer se trouvent également à proximité du port.
Activité de pêche et marché du poisson.
Flotte de 144 bateaux et navires (principalement des bateaux de pêche artisanale)
Port de pêche très actif avec un fumoir à poisson, une poissonnerie, un club de voile, des garde-côtes avec un bateau de sauvetage, un chantier naval, un atelier de réparation de filets et une usine de glace. Il y a une flottille de 12 bateaux de moins de 24 mètres, composée de chaluts de fond, un chalut à perche et deux sennes. Cette flottille pêche principalement du poisson blanc comme du merlu, de l’églefin ou du merlan.
Port de pêche (majoritaire) et de plaisance
Présence d’une halle à marée
Flottille de 95 bateaux
(chalutiers, fileyeurs, caseyeurs, ligneurs)
Port de pêche et de plaisance
Pas de halle à marée mais salle de préparation de poisson
7 bateaux fixes (pêche côtière)
Port de pêche, commerce, plaisance,
transport de passagers (trafic transmanche).
Présence d’une halle à marée.
Environ 40 bateaux (majoritairement pêche côtière). 1500 chalutiers hauturiers en escale de débarquement de poisson accueillis chaque année.
